Winteria aureispina F.Ritter
Synonyme : Cleistocactus
winteri . Cleistocactus
aureispinus . Borzicactus
aureispinus f. cristatus P.V.Heath. Borzicactus
aureispinus (F. Ritter) G.D. Rowley. Hildewintera
aureispina (F. Ritter) F. Ritter. Loxanthocereus
aureispinus (F.Ritter) F.Buxbaum. Winterocereus
aureispinus (F.Ritter) Backeberg
Géographie : Bolivie, Santa Cruz, Floride.
DescriptionPlante de la famille des Cactaceae qui forme de longues tiges cylindriques. Il est composé de nombreuses tiges enchevêtrées, fines et arquées ; les tiges dont les côtes sont au nombre de 16/17 peuvent aussi être cristées ou ondulées. Elles sont couvertes de petits aiguillons dorés. Les différentes tiges peuvent atteindre 1,50 m de long pour 5 cm de diamètre. Elles sont couvertes d'aréoles serrées pouvant avoir chacune jusqu'à 50 épines.
Les fleurs sont de couleur orange pâle jusqu'à rose saumoné et paraissent de la fin du printemps à la moitié de l'été environ en latérale des tiges et durent plusieurs jours.
Les fruits en résultant sont sphérique de couleur vert à vert rougeâtre de 7 à 10mm de diamètre.
Culture facile de culture
Emplacement: vive luminosité voire plein soleil.
Substrat: terreau, terre de jardin et sable à parts égales.
Arrosage: modéré en été et nul en hiver
Température minimale: 5°C mais résiste à de courtes gelées en substrat sec et à l'abri.
Mode de reproductionPar semis (rare)
Par bouturage de tiges.
Ce cactus se voit très souvent en jardinerie où il est vendu avec une petite taille d'où la présence de rejet qu'il est préférable de bouturer le plus rapidement possible car très fragile. Penser à changer le substrat de la plante achetée pour mettre dans le substrat de votre prédilection. Danger à l'arrosage au début de l'acquisition car ces plantes étant généralement poussées à l'engrais, elles sont très sensible à l'excès d'eau ; donc arroser avec parcimonie le temps que la plante s'habitue à votre régime. Ensuite, elle poussera sans problème.
_______ Signature __________
Moins il reste de temps à vivre, moins on a envie de le perdre.
Julian Barnes