Du Gui sur des Lauriers roses !!

C'est au jardin Hanbury que nous avons visité dimanche que nous avons pu observer cette curiosité botanique.
C'est un de nos amis, prof de botanique au lycée d'Antibes, qui l'avait vu lors d'une précédente visite, qui nous l'a signalé.

Les photos que j'ai faites ne sont pas géniales:



En ambiance:

Citation :

Parmi les feuillus, les arbres les plus fréquemment atteints sont les pommiers, les peupliers (surtout le peuplier noir) et les trembles, les aubépines, les saules, les robiniers et les tilleuls. On le trouve également souvent sur les poiriers, les noisetiers et les cerisiers, et plus rarement sur les noyers, et les frênes. On ne le trouve jamais sur les hêtres et les platanes. Sa présence sur les ormes et les chênes est très rare, d'où l'importance que les druides accordaient au gui récolté sur les chênes. Des formes particulières parasitent aussi les sapins et les pins, et occasionnellement les épicéas. Le gui peut aussi, accidentellement parasiter une autre touffe de gui.

C'est en effet déjà arrivé que des jardinautes parlent de gui sur des lauriers rose Jean, mais c'est un phénomène très rare, apparemment

Par içi, le gui n'est pas fréquent, sauf vers 1000 m d'altitude, ça convient mieux à son biotope.
J'allais en récolter sur des epicéas à 80 km dans la montagne, quand je voulais faire des cadeaux. Il y a aussi des forêts de houx vers 1000 m d'altitude, mais c'est un autre sujet.
Le gui sur des lauriers roses, et à si basse altitude, c'est ça qui m'a vraiment étonné.